Bien que nos gouvernants nous fournissent mille occasions d'être révoltées, voire de se décourager; ce n'est pas l'à peu près des complexités sociales mises au grand jour par le gouvernement Fillon, ni même les statisticiens au service de l'Elysée, qui m'interdiront de dénoncer ce qui ne va pas.
L'intelligence et la réflexion ne se décrêtant pas, ce matin, je me suis plongé dans la lecture de "comment je vois le monde". Un livre écrit par le plus génial des Prix Nobel (1921), Albert Einstein. Un très grand génie, un obsédé par le désir de faire régner un peu plus de justice sociale sur la planète des hommes.
S'attaquer aux régimes spéciaux, cela ne règlera en rien le financement de nos pensions et retraites. Il aurait fallu commencer par revisiter tous les prélévements sociaux avant de rogner quatre sous à ces "nantis de la république".
La flopée de conseillers élyséens ont décidé l'égalitarisme, en matière de durée de cotisations pour tous les salariés, exception faite à nos parlementaires, aux avocats et aux quelques autres privilégiés !.
Par contre, ils n'ont pas jugé utile de modifier le mode de calcul inégalitaire des liquidations des pensions et retraites.
J'ai très envie de suggérer à notre Président Sarkosy de relire les "Voyages de Gulliver". Son auteur, Jonathan Swift affirmait : "Personne n'accepte de conseils, mais tout le monde acceptera de l'argent, donc l'argent vaut mieux que les conseils".
"Je ne donne jamais de conseils, je les vends", aurait dit le richissime armateur grec, Aristote Socrate Onassis. Le mien sera gratuit, monsieur le Président Nicolas Sarkosy. Oubliez donc de temps en temps l'adage, on ne prête qu'aux riches !. Penchez-vous rapidement sur le malaise de vos concitoyens et sur leur perte de confiance dans les Institutions de la République.
Monsieur le Président, rétablissez la confiance dans le pays, c'est encore beaucoup plus urgent que la réduction de la dette publique.
"Plaie d'argent n'est pas mortel", me disait ma grand-mère et de s'empresser d'ajouter : "Il faut une très bonne mémoire après qu'on a menti". Ceci ne vise personne en particulier !.
On fête la Saint Nicolas le 6 décembre, le saint patron de la Russie et des petits enfants. Ce qui m'amène à citer Chamfort, auteur de "La Russie 1839" : "Tandis que d'autres nations ont supporté l'oppression, la nation russe l'a aimée... elle est ivre d'esclavage".
Avec les conclusions déposées par la commissions Balladur, la France monarchique serait-elle bientôt de retour ?.