Un exemple de l'opacité d'un OPAC
Cet imbroglio, approuvé par l'Etat, dans les participations des sociétés privées, publiques et dans les OPAC ( sociétés d'économie mixte nationales, sociétés par actions simplifiés, Régies immobilières des villes, filiales, associations et unions d'économie sociale...), il est bien fait pour noyer le poisson. Comment peut-on encore accepter cette gabegie qui prend des allures de provocation par ces temps de crise ?.
Comment se fait-il que des logements " sociaux "anciens, parfois très anciens possèdent des équipements d'une qualité très médiocre ?. Pourquoi sont-ils vendus à des prix équivalents à ceux du marché privé ?. Tous ces logements ont pourtant bénéficié régulièrement de subventions nationales et européennes pour des rénovations d'une qualité discutable ?. La vente de logements sociaux serait-elle la vache à lait des bailleurs sociaux ?.
" la définition de Michel Rocard, paru dans Le Monde du 6 mars 2008, qui donne une explication claire du mécanisme.(de la crise :
« L’ouverture de la crise est le résultat d’une technique bancaire nouvelle consistant à prêter massivement de quoi devenir propriétaire de son logement à toute une population aux revenus moyens ou faibles, sans se soucier des possibilités de remboursement."
" L’espoir de gain pour les prêteurs n’est plus fondé sur le paiement des loyers, mais sur la valeur des maisons que l’on expropriera et revendra autant"
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