mercredi 26 mai 2010

1993, Nicolas Sarkozy avait dit : " Pour les retraites, pourquoi ne pas demander aux français de choisir.

mercredi 2 juin 2010
GAZA - TEL-AVIV, cette nouvelle tuerie va enflammer le Moyen-Orient et relancer l'antisémitisme...

" Comment supprimer davantage de postes de profs ? Le Monde s'est procuré un document interne du ministère "
ajouté le 01/06/2010  

Plateau financement de la retraite


C'EST A VOUS - 13/10/1981 - 18min07s

" Dominique STRAUSS-KAHN, professeur d'économie à Paris 10 à Nanterre, est interviewé en plateau par Annick BEAUCHAMPS, à propos du financement de la retraite : il pose le problème en termes de solidarité entre générations et explique le système de capitalisation en vigueur en Allemagne, puis répond aux questions des téléspectateurs. Il s'agit de son premier passage à la télévision." sources ina.fr

Cliquez sur le lien et, vous jugerez les compétences indéniables de monsieur STRAUSS-KAHN
http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/dossier/1747/les-retraites.20090331.fr.html  
Ajouter le jeudi 27 mai 2010


" Pour les retraites, pourquoi ne pas demander aux français de choisir.Donner de la liberté aux gens, c'est préserver les acquis sociaux. "

Sources site de l'ina.fr www.ina.fr/profil/zenfiatlux   



" Les acquis sociaux : invités Nicolas Sarkozy et Dominique Strauss Kahn "


LE SOIR - 26/01/1993 - 12min46s
4909 vues

A quelques mois des élections législatives, Christine OCKRENT anime le débat entre Nicolas SARKOZY et Dominique STRAUSS KAHN sur les acquis sociaux.

Nicolas SARKOZY (secrétaire général du RPR) en duplex de Saint Cloud :


"Nous aurons du mal à remettre en cause les acquis sociaux des socialistes car il n'y en a pas eu. Après 12 ans de socialisme, il y a plus de chômage, moins de logements... Nous ne toucherons pas au RMI. Pour nous, ce qui est important est la lutte contre le chômage.".

- Dominique STRAUSS KAHN (ministre de l'industrie et du commerce) :
"Nicolas SARKOZY a voté contre les acquis sociaux d'aujourd'hui. RPR et UDF sont contre l'impôt sur les grandes fortunes.".

- N SARKOZY : "Je n'ai pas l'intention de devenir socialiste. J'ai voté pour le RMI et la retraite à 60 ans. Je voudrais comprendre pourquoi, aujourd'hui, nos régimes de retraites sont en danger.".

- D STRAUSS KAHN : "Quand le président de la république dit que les retraites seront garanties, cela veut dire que nous ferons tous les efforts pour cela. Les acquis sociaux, c'est que les villes riches aident les villes pauvres. Vous avez voté contre et je crains que vous ne le remettiez en cause."

- N SARKOZY : "Je remercie STRAUSS KAHN pour ses conseils. Pour les retraites, pourquoi ne pas demander aux français de choisir. Donner de la liberté aux gens, c'est préserver les acquis sociaux. Comment se fait il que des gens qui avaient promis de changer la vie, 12 ans après on ne trouve pas à se loger ? Je suis à la fois l'élu d'une ville riche, Neuilly, et d'une ville pauvre, Puteaux. Avec nous, tout ne sera pas facile, mais il n'y a pas de fatalité si on accepte de réformer son pays.".

- D STRAUSS KAHN : "Vos amis qui font comme vous (anglais et allemands) ont un taux de chômage très important. Vous dites le Droit au logement, mais c'est construire des logements sociaux. Pourquoi à Paris n'y a-t-il pas plus de logements sociaux ? "

Production
producteur ou co-producteur:
Agence, Paris : France 3


Générique
participant:
Sarkozy, Nicolas ; Strauss Kahn, Dominique ; présentateur : Ockrent, Christine
Bientôt la vidéo.......

Certains ont même imaginé un magic loto pour...... http://zen49.blogspot.com/
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mardi 18 mai 2010

Retraites à "COR" et à cri, cette réforme systémique a de quoi provoquer des "CORS" aux pieds des...

samedi 22 mai 2010

Si l'on avait eu la sagesse d'entendre les recommandations de notre unique Prix Nobel d'économie...
et 
vendredi 21 mai 2010
Un submersible a fait surface dans l'étang St Nico...
L'ETAT est ses symboles...
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Voir aussi sur facebook
Le rapport sur les retraites "le COR" a été rendu à l'Elysée le 14 avril dernier !. 
On doit reconnaître l'équité des travaux des Sénateurs qui ont mis en exergue  l'exemple des postiers. Chacune et chacun d'entre nous pourront juger des disparités choquantes (surtout en ce moment !) qui existent entre les caisses de retraites complémentaires du privé et celles du public. 
Après lecture de l'exemple présenté par le Sénateur Jean Louis Masson et le tour de passe-passe organisé par le gouvernement (avec l'aval de certains partenaires sociaux) sur les non compensations financières  entre caisses de retraites complémentaires, ce n'est pas de bonne augure pour la suite...!.


Audition de commission

Retraites : rendez-vous 2010
Vidéo : 41'23''
Raphaël HADAS-LEBEL (Conseil d'orientation des retraites)
http://videos.senat.fr/video/videos/2010/video4913.html   
 
Retraites complémentaires
N° 435
SÉNAT



SESSION ORDINAIRE DE 2009-2010
Enregistré à la Présidence du Sénat le 6 mai 2010

PROPOSITION DE LOI

tendant à préserver l’intégrité des retraites complémentaires AGIRC et ARRCO des salariés du secteur privé,

PRÉSENTÉE

Par M. Jean Louis MASSON, Sénateur
(Envoyée à la commission des affaires sociales, sous réserve de la constitution éventuelle d'une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.)

EXPOSÉ DES MOTIFS


Mesdames, Messieurs,

Le problème général du déséquilibre financier des caisses de retraite est aggravé par la multiplicité des régimes, ce qui conduit à des distorsions profondément injustes. Pour cette raison, il est souhaitable d’unifier l’ensemble des régimes de retraite en instaurant un système unique de retraite par points applicable à tout le monde. Quoi qu’il en soit, les salariés du secteur privé sont actuellement beaucoup moins bien traités que les fonctionnaires ou que ceux des régimes spéciaux (SNCF, EDF…). Ce constat est vrai, à la fois pour les retraites proprement dites et pour les retraites complémentaires.
Ainsi, les régimes complémentaires des salariés du privé (AGIRC et ARRCO) sont nettement moins avantageux que le régime complémentaire servi par l’IRCANTEC aux fonctionnaires non titulaires et aux élus locaux :
- Le taux de cotisation IRCANTEC est de seulement 5,63 % de la rémunération alors qu’il est de 9,50 % à l’AGIRC-ARRCO ;
- Les prestations accordées par l’IRCANTEC ont un taux de rendement de 11,40 % ; ce taux n’est que de 6,75 % à l’AGIRC et de 6,64 % à l’ARRCO.

Il est donc tout à fait inadmissible que la loi n° 2010-123 du 9 février 2010, qui a transformé La Poste en société anonyme, en ait profité pour renflouer l’IRCANTEC au détriment de l’AGIRC-ARRCO. Devenue société anonyme le 1er mars 2010, « La Poste » devait dans la foulée modifier les règles du jeu pour ses agents contractuels, c’est à-dire ceux qui ne sont pas fonctionnaires. Ils représentent près de la moitié des effectifs et cotisaient jusqu’alors pour leur retraite complémentaire, à l’IRCANTEC. En devenant une société de droit privé, La Poste aurait dû théoriquement faire passer ces salariés de l’IRCANTEC à l’AGIRCARRCO.
Toutefois, ce changement était refusé par les syndicats de La Poste car les conditions de l’AGIRC-ARRCO sont considérablement moins avantageuses que celles de l’IRCANTEC. Comme l’indique le journal les Echos du 9 mars 2010, « les cotisations sociales versées par les salariés et les employeurs auraient été plus importantes et les pensions moins élevées ». Un compromis fut finalement trouvé fin 2009 selon lequel les salariés actuels de La Poste resteraient affiliés à l’IRCANTEC, les nouveaux embauchés, à compter de mars 2010 relevant, eux, de l’AGIRC-ARRCO. Bien que les nouveaux embauchés de La Poste n’aient absolument rien à voir avec l’IRCANTEC, le Gouvernement a prétendu que leur non affiliation aurait pénalisé cet organisme en lui faisant perdre des cotisants potentiels pour remplir ses caisses. En fait, c’est inexact car l’origine des problèmes financiers de l’IRCANTEC se trouve dans le niveau insuffisant des cotisations par rapport aux prestations fournies. Au lieu d’agir à ce niveau, la loi a obligé l’AGIRC-ARRCO à verser une soi-disant compensation prenant la forme, soit d’une soulte, soit d’un versement annuel pendant une longue période.

En fait, le projet de loi initial ne prévoyait pas que l’AGIRC-ARRCO indemnise l’IRCANTEC d’un hypothétique et virtuel manque à gagner. Ce projet de loi a tout d’abord été voté après déclaration d’urgence à l’Assemblée nationale, mais un amendement a été présenté en dernière minute au Sénat pour imposer la compensation. Ce tour de passe-passe a été tout d’abord passé sous silence car certains dirigeants de l’AGIRC-ARRCO étaient tacitement complices de l’opération. Finalement le pot aux roses a été mis sur la place publique à l’occasion des tractations début mars 2010 pour fixer le montant de la soulte.
Les ayants droit de l’AGIRC-ARRCO ont alors exprimé leur profonde indignation. Ils ont raison car la compensation est totalement injustifiée. En effet, le principe des régimes de retraite complémentaire consiste à redistribuer a posteriori les cotisations versées par chaque affilié.

Les nouveaux salariés de La Poste n’auront jamais été affiliés à l’IRCANTEC, n’y auront jamais cotisé et n’en percevront aucune prestation. Ces nouveaux salariés de La Poste auront pour seul interlocuteur de retraite complémentaire l’AGIRC-ARRCO. N’ayant strictement rien à voir avec eux, l’IRCANTEC n’est pas fondé à réclamer quoi que ce soit.

Les affiliés de l’AGIRC-ARRCO sont déjà nettement défavorisés par rapport à ceux de l’IRCANTEC. C’est donc un comble que de vouloir en plus leur faire supporter le prix du déficit financier de l’IRCANTEC.
Pour cette raison, il convient d’abroger l’article susvisé de la loi transformant La Poste en société anonyme. Au besoin, si les pouvoirs publics souhaitent renflouer les caisses de l’IRCANTEC, ils n’ont qu’à trouver d’autres solutions. Par exemple, un plafonnement radical du bouclier fiscal.

PROPOSITION DE LOI

Article unique

Dans l’article 11 de la loi n° 2010-123 du 9 février 2010 relative à l’entreprise publique La Poste et aux activités postales, les deux phrases suivantes sont supprimées : « Une convention entre les fédérations d’institutions de retraite complémentaire visées à l’article L. 922-4 du code de la sécurité sociale et l’Institution de retraite complémentaire des agents non titulaires de l’Etat et des collectivités publiques organise les transferts financiers entre ces organismes en tenant compte des charges et des recettes respectives. À défaut de signature de la convention au 30 juin 2010, un décret en Conseil d’Etat organise ces transferts financiers. »

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vendredi 7 mai 2010

Plateaux de la balance de la récession qui va encore profiter aux nantis...!

samedi 8 mai 2010
Commémoration du 8 mai 1945, place Leclerc à ANGERS
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Rigueur - Récession - Régression // Déclin - Décadence - Dégradation...


mardi 4 mai 2010

Les marchés financiers sont peu convaincus par les aides à la Grèce...

http://zen49.blogspot.com/ Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr Allons nous assister à l'effet domino tant redouté par les européens « convaincus ». Il faut dire que nos parlementaires avaient décidé, à notre place, d'entériner le traité de Lisbonne à Versailles en méprisant totalement le résultat du référendum populaire. En votant d'une seule main, la majorité parlementaire et le PS ne pouvaient que souscrire à emprunter pour essayer d'enrayer le désastre financier de la Grèce. Un engrenage catastrophique pour les européens, principalement pour les Français qui sont déjà dans une situation extrêment précaire. La réactivité observée par certains analystes financiers et l'attitude des places financières devraient susciter beaucoup plus d'attention de la part des autorités européennes et des pays très endettés tel que la France. !. Nos parlementaires nous ont entraîné dans une déroute financière et sociale aux conséquences incommensurables. « Le prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz a prédit mardi la fin possible de l'euro si l'Europe ne parvient pas à régler ses "problèmes institutionnels fondamentaux", dans la foulée de la crise grecque. Interrogé par la radio BBC 4, M. Stiglitz a estimé que le plan d'aide UE-FMI, assorti d'un plan d'austérité dont il a critiqué la sévérité, ne ralentirait pas l'ardeur des spéculateurs à miser sur un affaiblissement de la zone euro. "Les conditions apparemment excessivement dures imposées à l'Espagne", a-t-il dit en faisant un lapsus, "seront en réalité contre-productives pour prévenir une contagion". Les analystes signalent en général l'Espagne comme le prochain pays de la zone euro à pouvoir connaître les mêmes difficultés que la Grèce....» la suite sur Actualités Boursorama-AFP le 04/05/2010 Précédement, « A 10h30 GMT, l'indice Ibex abandonnait 2,8% alors que le FTSEurofirst 300 paneuropéen cédait un peu moins de 1,2%. « Les valeurs bancaires figuraient parmi les plus touchées, Santander et BBVA, les deux premières banques du pays, perdant chacune environ 4%. "La véritable raison de la baisse d'aujourd'hui, ce sont les préoccupations concernant la solvabilité souveraine d'autres (pays de la zone euro) qui ne seront pas aidés par l'aide à la Grèce parce que celle-ci constitue une solution à court terme", a commenté Nicolas Lopez, responsable de l'analyste chez M&G Valores. "Reste à savoir ce qui se passera à plus long terme, et cela perturbe un certain nombre de marchés." L'agence de notation Fitch Ratings a réaffirmé mardi la note "triple A" qu'il attribue à la dette souveraine de l'Espagne, avec une perspective stable. "C'est notre note en ce qui les concerne, avec tout ce que cela implique", a déclaré un porte-parole de Fitch à Londres. »....Agence reuters-Boursorama