vendredi 1 octobre 2010

Ne croyez plus les béni-oui-oui, ministres, les porte-parole UMP,

Ils vous mentent, ils nous mentent !
Manifestons notre désapprobation dans la rue
Samedi 2 Octobre à 14 H à ANGERS et partout en France
Non et Non au calcul de la retraite pleine à 67 ans
Actuellement, pour obtenir une retraite pleine, sans décote, l'âge limite est fixé à 65 ans.
Dénonçons tous ces hypocrites, ministres, députés, sénateurs, bénéficiaires de retraites chapeaux, etc..., ils se moquent totalement de leurs concitoyens.
Il faut que nous soyons 5 millions dans la rue demain samedi 2 Octobre 2010 pour revoir la copie des conseillers de l'Elysée qui est innaceptable en l'état. A moins que ces "nantis" de la politique oublient notre jeunesse ?. Ce sont eux qui vont supporter encore plus les plans de rigueur successifs...!.
Tête de cortège à Angers, le 24 septembre Pendant que le nombre de manifestants augmente à chaque rassemblement, nos deux retraités commentent leur déception d'avoir voté pour l'actuel Président.
Ces deux retraités n'ont même pas le minimum veillesse, comme ils le disent les politiques !. Ils avaient, eux aussi, voté Sarkozy, croyant à ses belles promesses de campagne !. Nicolas Sarkozy martelait dans ses discours : " notre pays doit règler ses comptes vis-à-vis de l'argent, pour les régler vis-à-vis de la réussite !".
François Bayrou parle de "l'obsédante présence de l'argent dans la vision du monde de l'actuel Président de la République ".
" Présence de l'argent pour lui-même. A ceux qui le visitent à l'Elysée, Nicolas a fait souvent cette déclaration : " Tu sais, vous savez, je ne suis pas sûr de me représenter. J'ai d'autres choses à faire dans la vie. Après en tout cas, je ferai de l'argent : du gros argent."
Le gros argent, je ne sais pas ce qu'un psychanalyste dirait de cette formule...(...) François Bayrou, Le Point N°1911 page 43. A la page 44 "Bayrou en toutes lettres", les mots prononcés par des personnalités de la Majorité sont d'une telle violence que je vous renvoie à l'exemplaire Le Point.
Et dire que la réforme des retraites ne figurait pas au catalogue du candidat Nicolas Sarkozy ?.
Demain 2 Octobre 2010, c'est aujourd'hui qu'il faut bouger, après il sera trop tard !
Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr

3 commentaires:

Futur retraité déjà ruiné a dit…

Multiplier les journées de protestation ne sert à rien, la fréquentation ne peut que baisser ce qui réjouira le nain et ses hommes de main. Il faut frapper au portefeuille: journée grève de la consommation soit 0 E de TVA, 0 recettes chez les commerçants, 0 reassort chez les industriels,etc... ou encore journée retrait total des liquidités sur les comptes bancaires = faillite momentanée des banques, il y a surement encore des possibilités car le con-sommateur est la vache à lait sans lequel l'économie s'effondre, les riches ne sont là que pour rammasser le pognon et se tirer en Suisse ou en Belgique. Il faut trouver de nouveaux moyens de pression plus efficace; les syndicats manquent de créativité et de bon sens. Quant aux retraités qui ont permis l'élection de ce raté, ils en redemanderont en 2012! Ceux qui trinquent , ce sont ceux qui travaillent ou voudraient travailler...

Alain Février a dit…

« FIGURES IMPOSEES »

par Romain Thomas. Ex-attaché parlementaire de Roselyne Bachelot

« Le PS et les retraites. Michel Rocard l’avait reconnu lui-même au début de l’année : la décision de baisser l’âge légal de départ en retraite à 60 ans en 1981 était une folie au regard du contexte économique de l’époque. Rocard n’était pas le seul à jouer les Cassandre : Jacques Delors, le ministre de l’Economie, avait abondé dans le même sens. La gauche mitterrandienne triomphante méprisait alors ces oiseaux de mauvais augure qui tranchaient avec l’enthousiasme ambiant. Et la suite des évènements leur a donné...»
Lire la suite sur son blog

Un jeune élu de l'opposition à la mairie d'Angers, lui comme d'autres de ces colistiers, déjà parti vers d'autres hirizons, il n'avance aucune idée personnelle sur l'avenir de la jeunesse française !. Il se contente de distribution de bons et de mauvais points à la gauche des années 1960 à nos jours, en occultant tout le reste, dont les 40 années de pouvoir de la droite durant cette période...»

La réforme des retraites devrait-elle intéresser au premier chef, ce jeune loup UMP ?. Et bien, non,figurez vous, si j'en crois ce qu'écrit ce jeune homme. Il n'avance aucune proposition nouvelle, ni même ancienne d'ailleurs. Sur cette réforme aussi capitale des retraites qui engagent les citoyens pour une bonne trentaine d'années, il y a beaucoup à dire sur les criantes inégalités entre salariés et régimes de retraites, sur le financement qui est loin d'avoir trouvé son équilibre financier....

Il y a vraiment de quoi être tristre de lire pareil radotage politicard qui se veut peut-être « on refait l'histoire de la Vème »; là encore c'est raté ?.

Disons que ces « Figures Imposées », elles sont bonnes à classer dans la rubrique politicaillerie d'un politicard sur le déclin qui a occupé son espace politique simplement pour être bien en cour.

Réveillez-vous jeunes UMP, dans 15 ou 20 ans, c'est vous que l'on accusera de n'avoir rien dit, ni rien fait, tant qu'il était encore temps !
Alain Février

Anonyme a dit…

Le Parisien.fr : " Dimanche, au micro de la Radio de la communauté juive, RCJ, Chatel répond donc à une question portant sur une éventuelle promotion du côté de Matignon : «ce qui me préoccupe, moi, c'est mon domaine ministériel. Le président de la République, il m'a nommé Premier ministre... ministre de l'Education nationale !». Bien repris. Mais trop tard. Le mot est dit. Il le sait mais préfère, un tantinet embarrassé, en remettre une couche, histoire que les choses soient bien claires. «Il ne m'a pas nommé Premier ministre, il ne m'a pas demandé de me préparer à la fonction de Premier ministre, il m'a demandé de m'occuper de l'Education nationale», a-t-il répété, avant de conclure : «C'est ça qui me préoccupe et rien d'autre, malgré les lapsus».

Régulièrement loué en public par le chef de l'Etat, Luc Chatel serait sur la liste des ministres régulièrement cités pour remplacer, le cas échéant, François Fillon à la tête du gouvernement en novembre."