jeudi 7 juillet 2011

Une prime vacances de 3 537,61 euros pour des sénateurs qui gagnent, pour beaucoup d'entre eux, plus de 20 000 euros par mois ?.

La symbolique sarkozienne prend toute sa dimension dans cette définition du cynique : " Un homme qui connaît le prix de chaque chose et la valeur d'aucune ", signé Oscar Wilde 

On vous dit que c'est la faute à la crise !.  En 2011, la banque de France enregistrera 1 000 000, un million supplémentaire de dossiers de surendettement ?.
La France est en faillite avait dit François Fillon,  sauf au Sénat ?.

En dehors de leur retraite dorée, chaque sénateur perçoit mensuellement : 5 514,68 euros bruts + 165,44 euros indemnité résidence  + 1 420,03 euros indemnité de fonction = 7.100 €/mois ; il faut rajouter l'IRFM d'un montant de + 6 240,18 euros par mois au 1er mai 2011. Dignitaires, présidents, vice-présidents, questeurs et secrétaires disposent d'une indemnité supplémentaire : + 5 170 euros brut par mois pour les questeurs qui touchent en plus, des frais de représentation de + 11 600 euros par an. » ?.
Pas mal, pas mal !

Midilibre.fr, 06 juillet 2011 :



« Les sénateurs s'attribuent une prime exceptionnelle de 3 537,61 euros »


....« Un sénateur touche une indemnité de base mensuelle de 5 514,68 euros bruts, à laquelle s'ajoute une indemnité de résidence de 165,44 euros et une indemnité de fonction de 1 420,03 euros, soit 7 100 euros brut au total.

A cette somme s'ajoute l'IRFM d'un montant de 6 240,18 euros par mois au 1er mai 2011, destinée à "faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice du mandat". Les dignitaires, présidents, vice-présidents, questeurs et secrétaires disposent d'une indemnité supplémentaire. Cette indemnité est de 5 170 euros brut par mois pour les questeurs qui touchent chacun, en plus, des frais de représentation de 11 600 euros par an. »...

http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ11060671G.html  


Pouvoir d'achat et fiscalité

Question d'actualité au gouvernement n° 0671G de M. Jean-Marc Todeschini (Moselle - SOC)
publiée dans le JO Sénat du 24/06/2011 - page 5260

Jean-Marc Todeschini. Depuis quatre ans, le Gouvernement mène sa politique fiscale au détriment des salariés, des classes moyennes et des plus défavorisés. Il a oublié le pouvoir d'achat !


Monsieur le ministre du budget, pour vous justifier de ne pas honorer la promesse du candidat Nicolas Sarkozy, vous avez souvent invoqué la crise, mais il y a un point sur lequel vous n'avez jamais renoncé : la défense du bien-être des 2 % de contribuables les plus riches...
 
http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ11060672G.html  


RGPP et crise financière
publiée dans le JO Sénat du 24/06/2011 - page 5261


Question d'actualité au gouvernement n° 0672G posée par Mme Éliane ASSASSI (de la Seine-Saint-Denis - CRC)

Mme Éliane Assassi. Ma question s'adresse à M. le Premier ministre.

Après votre vaine tentative d'inscrire dans la Constitution le retour à l'équilibre des comptes publics, vous avez fait voter un allégement appréciable de l'ISF : symbole d'une politique au service des plus riches, il représente à lui seul une perte sèche de 1,8 milliard d'euros par an pourl'Etat
Dans le même temps, au nom de la RGPP, la révision générale des politiques publiques, vous appliquez une politique d'austérité qui se traduit par la baisse des dépenses publiques utiles, la déstructuration des services publics et l'étranglement financier des collectivités territoriales....
 
http://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ100312461.html  


Indemnité dite de conseil

Question écrite n° 12461 de M. Jean Louis Masson (Moselle - NI)
publiée dans le JO Sénat du 11/03/2010 - page 577

M.Jean Louis Masson attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur le fait que les communes et les syndicats intercommunaux peuvent décider d'allouer une indemnité dite de conseil qui est directement versée au percepteur. C'est un des derniers cas où un fonctionnaire de l'État perçoit des gratifications de personnes physiques ou morales qui sont ses interlocuteurs administratifs. Il lui demande si une telle situation lui semble satisfaisante du point de vue de la déontologie car un percepteur contrôle la légalité des paiements effectués par la commune. De plus, le percepteur effectue tout simplement son travail, le même raisonnement pouvant alors conduire à faire verser également une indemnité dite de conseil aux sous-préfets ou aux chefs de service d'autres administrations.....

Ouvriers, employés, classe moyenne, à les entendre, ils sont nombreux nos parlementaires "nantis", à vouloir rejeter la faute de leur mauvaise appréhension de la crise sur vous et sur vos enfants !. Si ils ont mis notre France en faillite, il ne faut plus leur faire confiance et, surtout ne plus voter pour les mêmes. Celles et ceux qui se présenteront aux prochaines échéances électorales, ils devront avoir fait leurs preuves de bonne moralité,  de respect des valeurs morales et de ne pas avoir été condamné par la justice. Il faudra s'en souvenir, les chômeurs, les victimes des petits boulots, les CDD, les emplois aidés, les petits retraités, les surendettés..., vous êtes majoritaire en France. 

Courriel privé : fevrieralain@hotmail.fr

2 commentaires:

zen-fiatlux a dit…

Il s'en passe des choses pas très catholiques au

" Centre commercial Espace Anjou
75, avenue Montaigne
49000 ANGERS"

Des huissiers de justice - des renouvellement de baux à hauteur de plus de 60 % ?.

Les plus anciens feront le rapprochement avec les boules du grand rond-point et l'ex-Leclerc rendu à Camus-Rue de La Meignanne. Il ne faut pas oublier la partie de bras de fer que les commerçants de la galerie marchande de Leclerc avait engagé contre le Roi Jean, maire d'Angers.

Si j'étais un journaliste et indépendant par dessus le marché, je pense qu'il y a matière à faire un bon scoop. Les journalistes du canard enchaîné oseront-t-ils perturber la douceur angevine ?

La balle est dans votre camp

zen-fiatlux, Google

Alain Février a dit…

Le surendettement explose !
La première loi,parmi des dizaines d'autres, remonte à 1980.

Pas foutu capable d'obliger les banques ou leurs filiales à tenir un fichier des attributions de crédits. Où plutôt, fermer les yeux sur les pratiques bancaires qui asphyxient les emprunteurs.

Nous sommes le seul pays en Europe qui ne dispose pas de ce genre de fichier, alors que les gouvernements Fillon successifs fichent la population en permanence ?.

Progression du surendettement

http://www.senat.fr/questions/
base/2011/qSEQ110518480.html