jeudi 16 février 2012

Affiches électorales en vrac, en réintégrant l'Otan de son propre chef, en bafouant la consulation des français de 2005, le président Sarkozy retrouverait des valeurs au référendum !. De qui se moque-t-on ?.

DUR, DUr, Dur de trouver un slogan de campagne pour une réélection présidentielle !
Affiche campagne présidentielle 2012


Le NON à presque 55% en 2005, au Traité Européen  !


En 1986, La cohabitation Mitterrand-Chirac s'installe dans la réciprocité du respect et de la dignité.Dans son livre « MEMOIRES 1 », Jacques Chirac et François Mitterrand définissent deux principes : « le respect du verdict populaire et le respect de la Constitution, en particulier le respect des prérogatives du Président. Nous avons deux priorités : l'emploi et la sécurité »...

On veut bien jeter par les fenêtres de la BCE, des centaines de milliards d'euros pour « sauver » ou plutôt pour noyer la Grèce aujourd'hui, puis demain ce sera le tour du Portugal, de l'Italie, de l'Espagne, de la France, de la Belgique, de l'Irlande....On a modifié la Constitution Française !. Monsieur le Président Sarkozy et son premier ministre, François Fillon ont détruit la confiance des citoyens français en ne respectant pas le verdict populaire exprimé en 2005. Merkel avec l'assentiment de Sarkozy, le chaperonnerait-elle ?..

Pendant cinq années, Nicolas Sarkozy s'est permis de décider à la place du peuple de France. Résultat, il  s'est montré trop docile au diktat allemand  !. 

La matière grise des nombreuses grosses têtes de Matignon et de l'Elysée, a-t-elle été l'oubliée d'une règle fondamentale : c'est que pour consommer, il faut avoir de l'argent à dépenser.  
Les Photos sont de Wilkipedia.
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1 commentaire:

Anonyme a dit…

A Athènes, les responsables politiques des deux grands partis grecs font cause commune pour asphyxier leur peuple

les homologues grecs de Aubry et de Copé, le socialiste Georges Papandréou et le conservateur Antonis Samaras, mercrdi dernier,ils ont signé une lettre commune dans laquelle ils s'engagent à poursuivre la politique négociée avec l'UE et le FMI.

le gouvernement grec doit rembourser 14,5 milliards d'euros d'ici le 20 mars, sous peine de se retrouver en défaut de paiement.