lundi 2 juillet 2012

Addition salée, qui sera le patron de l'UMP ?.Vraie-fausse lettre d'un député et fausse-vraie critique, c'est ça la France !


«...Avant la présidentielle, la précédente majorité avait assuré à plusieurs reprises qu'un nouveau plan d'austérité ne serait pas nécessaire cette année...[...].

Les "sages de la rue Cambon" jugent "possible" d'y parvenir dans la mesure où cet effort serait, selon eux, "de même ampleur que celui réalisé par la France à la veille de l'entrée dans la zone euro", de 1994 à 1996. [...]

La juridiction financière s'inquiète aussi des effets de deux contentieux fiscaux (dispositif "précompte" et OPCVM - Organismes de placement collectif de valeurs mobilières) qui ont valu à la France d'être condamnée par la Cour de justice de l'Union européenne et qui pourraient peser à hauteur de près de 5 milliards d'euros sur l'exercice 2013 et de 1,75 milliard sur 2014.....»


François Fillon annonce sa candidature à la présidence de l'UMP

Paris, le 1er juillet 2012

« Chers amis,

La France est confrontée aujourd’hui à une crise sans

précédent, du fait de la situation économique et

financière critique de la zone euro. À l’intérieur de

notre pays, c’est la survie du pacte républicain qui est

en jeu.

Le nouveau Président de la République et son

Gouvernement n’ont pas pris la mesure de ces menaces.

La politique qui se met en place ne permettra pas à la

France de maintenir son rang en Europe et dans le

monde. Elle fragilise la France et l’Europe avec elle.

[...]...
...Je vous confirme que je serai candidat à la présidence

de notre mouvement à l’occasion de notre Congrès

qui se déroulera à l’automne.


Je le fais avec.... Je le fais avec.... Je le fais avec....

Je le fais avec....

[...]


Quand on a été cinq ans premier ministre de la France, Quand son remplaçant n'a même pas deux moins d'ancienneté, comment peut-on affirmer ceci : "
"...Le nouveau Président de la République et son Gouvernement n’ont pas pris la mesure de ces menaces. La politique qui se met en place ne permettra pas à la France de maintenir son rang en Europe et dans le monde. Elle fragilise la France et l’Europe avec elle. [...]...

N'est-ce pas vous, monsieur le premier ministre François Fillon, avec le président Nicolas Sarkozy, qui avez mené le pays à la faillite, en s'entêtant à accepter la mise de la France et des français sous le joug d'une Allemagne, plus préoccupée à commercer avec les pays de la zone euro, qu'à définir une véritable politique commune sur le plan économique et social ?.

Le Président François Hollande et son premier ministre Jean-Marc Ayrault n'ont pas si mal débuté leur quinquennat !. Bien que vous prévoyez une déroute économique, dont vous en êtes aussi comptable, monsieur le premier ministre, ne soyez pas autant impatient de vouloir reprendre le pouvoir, les français ont voté !. Croyez-vous que les citoyens électeurs français ont digéré la violation du résultat du référendum de 2005 ?.
Il serait plus que temps de s'attaquer à la réduction des mille-feuilles institutionnels "Région-Conseil Général-Agglo-Mairie et personnels et politiques associés" 

Voilà à quoi passe son temps, monsieur de député de la droite populaire, Bernard Debré...

Il ne faut pas s'étonner que la France et les français sont dans la mouise totale. Notre mère Patrie regorge de parlementaires et d'élus qui passeraient leur temps à rédiger des courriers ciblés ?. Il est vrai que la droite et la gauche veulent réduire le nombre de fonctionnaires ; pourquoi ces deux partis politiques ne commenceraient-ils pas par en réduire leur nombre délus ?.

Comme ça, la France parlementariste ne serait plus montrée du doigt, si elle perdait sa place de championne du monde d'élus !.

La France ridiculisée aux yeux du monde :

Monsieur le député UMP Bernard Debré avait-il adressé un courrier de reproches au Président Sarkozy pour dénoncer l'installation de la tente du dictateur Kadhafi, dans les jardins du Sénat, au palais du Luxembourg ?.

Quand on veut endosser le costume du père fouettard, il faut veiller à conserver son intégrité et son impartialité.


Maintenant, vous pouvez lire des extraits des épanchements de ce parlementaire, monsieur Bernard Debré ! :
Pr. Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris
A



Extraits de la très longue "Lettre ouverte de juin 2012 à Valérie Trierweiler : texte de Bernard Debré " 


" Madame,

Lorsque vous êtes apparue aux côtés de François Hollande, après qu’il eut quitté Ségolène Royal, les citoyens français ont accepté votre présence, certains avec interrogation, d’autres avec un petit sourire, mais la plupart avec gentillesse. En France, l’amour est roi et les nouveaux couples qui se forment, surtout en politique, attirent plutôt la bienveillance.
Nicolas Sarkozy avait bénéficié de cette même « grâce » lorsque Cécilia était partie. Il s’en était expliqué, peut-être un peu trop, en conférence de presse et s’était marié avec Carla Bruni. Autre temps, autre mœurs, diriez-vous. Effectivement, qu’il s’agisse du général de Gaulle avec « tante Yvonne », de Giscard d’Estaing et d’Anne-Aymone, de François Mitterrand et de Danielle ou même de Jacques Chirac et de Bernadette, ces femmes versaient plutôt dans le caritatif discret que vers l’émergence people tapageuse.

Il est vrai cependant que la presse, pour François Mitterrand, a laissé tomber un manteau de discrétion sur sa double vie qu’il n’a révélée qu’à ses dernières heures. Déjà, il paraissait (mais qui a osé en parler ?) tout à fait anormal que sa deuxième « épouse » et sa fille soient prises en charge par l’État : appartement officiel sur le Quai Branly, voitures, chauffeurs, gardes du corps, cuisines et cuisiniers.

Bref ! Les frasques de François Mitterrand, gardées secrètes par des journalistes complices, ont coûté quelques 8 à 10 millions d’euros au budget de l’État Carla Bruni n’a pas agi dans ce sens ni Bernadette Chirac. Mais vous voilà arrivé et avec vous, comme le dit la gauche, la modernité, ringardisant tout ce qui s’est passé avant.

Après tout, François Hollande a le droit d’avoir comme amie qui il veut et le temps qu’il le désire. Quant au titre de « première dame », il est usurpé. Ce statut n’existe pas et a été monté de toutes pièces par des journalistes avides de sensationnel. Vous n’avez, Madame, aucune existence légale d’autant plus que vous n’êtes ni mariée, ni pacsée. Que dirait-on d’un président de la République qui accumulerait les « premières dames » comme on accumule des amies ou des flirts ?

[.....]

...Voici maintenant qu’en femme moderne, vous tweetez. Vous avez réussi, par vos bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France.

Ségolène Royal est candidate, certes parachutée, en Poitou-Charentes. Elle affronte Monsieur Falorni, implanté localement depuis de nombreuses années et ami de François Hollande. Il était naturel que les caciques du Parti socialiste viennent à son secours, elle qui avait été la femme candidate à l'élection présidentielle de 2007.

Il était peut-être moins évident que le président de la République se mêle de ces élections. En Président « normal », il avait annoncé qu’il n’y participerait pas. Les Français avaient d’ailleurs compris que le petit mot de soutien à Ségolène Royal était plus affectif que politique. Elle avait été sa compagne pendant si longtemps.

[....]

Il s’agirait là d’une déviation intolérable de la neutralité politique d’un journaliste. Voyez-vous Monsieur Jean-Michel Apathie, Madame Ruth Elkrief, Monsieur Alain Duhamel prendre position pour qui que ce soit ? Ils devraient rendre immédiatement leur carte de presse, s’inscrire à un parti politique et ne plus parler. Certes, beaucoup de journalistes, beaucoup de journaux, sont à gauche et l’ont montré lors de ces dernières élections. Mais vous, Madame, journaliste à « Paris Match », vous n’auriez jamais dû prendre position. Ce n’est donc pas comme journaliste que vous avez envoyé ce tweet, vous êtes trop intelligente pour tomber dans un tel piège.

Est-ce pour affirmer votre indépendance vis-à-vis de votre compagnon ? Peut-être aussi pensiez-vous affirmer l’importance de la liberté de la femme ? [...] 

[......]

Mais, pire encore, vous imaginiez, dans vos rêves les plus épouvantables, dans les cauchemars les plus terribles, les cérémonies officielles présidées par François Hollande [....]

....La France, par ce tweet, a été ridiculisée dans le monde entier. Une si petite phrase ayant de telles conséquences ! Vous avez non seulement desservi la France où vous n’avez aucun rôle à jouer même si vous avez accompagné François Hollande dans ses voyages officiels à l’étranger (ce qui, déontologiquement, diplomatiquement, était déjà une extravagance), mais vous avez desservi le président de la République élu par une attitude grotesque de femme jalouse qui se mêle de politique pour entraver la carrière de son ami ou compagnon.
Vous avez ridiculisé et humilié les femmes des autres présidents français qui, elles, faisaient de l’humanitaire. Vous avez, semble-t-il, balayé d’un revers de la main ces actions remarquables qu’elles avaient menées et, par conséquent, vous avez méprisé tous ceux qui, en France ou ailleurs, ont consacré leur vie aux enfants, aux handicapés, à ceux qui étaient atteints du SIDA, etc.

Bref, ce petit tweet de rien du tout a été le révélateur, Madame, d’un malaise que les Français n’osaient pas admettre, qui mélange la faiblesse du président de la République et la méchanceté de sa compagne.

Acceptez, Madame, mes sentiments mêlés de tristesse, de rage et de surprise."
Pr. Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris


" L'ambition souvent fait accepter les fonctions les plus basses : c'est ainsi qu'on grimpe dans la même posture que l'on rampe " Jonathan Swift 1667-1745.

Article 432-15, modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 – art.3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002 :
Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, un comptable public, un dépositaire public ou l’un de ses subordonnés, de détruire, détourner ou soustraire un acte ou un titre, ou des fonds publics ou privés, ou effets, pièces ou titres en tenant lieu, ou tout autre objet qui lui a été remis en raison de ses fonctions ou de sa mission, est puni de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende."
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Courriel : fevrieralain@hotmail.fr

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