jeudi 13 juin 2013

Après la Grèce, Chypre...?. La France et les Institutions européennes sont à bout de souffle. Euro trop cher, Dumping social, etc.....Politiques impuissants ou incompétents ?.


La Grèce, ses îles et Chypre ne sont-ils pas le petit paradis de nos élites politiques françaises de gauche comme de droite ?. La Grèce n'aurait jamais du rentrer dans la zone euro ...!. Ces tricheurs de la BCE, ex Goldman Sach's et la Commision européenne sont les responsables de cette débâcle financière. Le Pasok et les anciens du régime dictatorial des colonels se partagent toujours le pouvoir. La Grèce a toujours été sous influence des familles Papandhréou et Karamanlis. Le parlement européen et la Commission ont fait l'étalage de toute leur incompétence et leur complicité en ayant poussé les grecs au chaos. Quand on sait que la population ne payait pas d'impôts, c'était les américains qui leur assuraient les fonds de roulements jusqu'à ce que la Communauté européenne en prenne le relais. Un petit pays qui ne possède aucun cadastre !. La radio et la télé publique appartiennent à une caste disposant d'énormes privilèges pendant que la population est matraquée économiquement et financièrement. On peut crier au scandale mais il faut connaître les véritables causes qui ont poussé le gouvernement grec à employer cette méthode radicale, la suppression des antennes publiques de diffusion de la TV !. 

« Nouveaux Combats pour l'Europe, 1995-2002 : Un aveuglement suicidaire, Pour une autre Europe; (pages 52-53) Editions Clément Juglar, septembre 2002,


Dans la situation critique où se trouve la France et la majorité des citoyens privés de l'ascenseur social, politique ou de réseaux sociaux universitaires, il n'est pas surprenant de constater la pluie de critiques qui arrosent le monde politique et les personnalités civiles.

 
« Les circonstances de la 2e Guerre mondiale et de la Libération, avaient permis d’élaborer, en 1946, un Pacte qui a permis les « Trente glorieuses » ; chacun sent aujourd’hui que ce Pacte négocié il y a 60 ans est à bout de souffle, qu’il ne fonctionne plus et qu’il « fossilise » le dialogue social. Il faut en bâtir un nouveau.» [...]

"Les partenaires sociaux sont donc face à une responsabilité que l’on peut qualifier, sans grandiloquence, d’historique. Nous pensons qu’un nouveau pacte social, plus dynamique, adapté aux révolutions que nous traversons, est une clé incontournable de la compétitivité."

[ Qu'on le veuille ou non, si la France et les français veulent essayer de s'en sortir avec le moins mal possible, c'est de retrouver la souveraineté monétaire et le pouvoir décisionnel. Dans la situation dramatique où se situe la France, elle n'a plus les moyens de lutter contre cet euro fort, le dumping social à l'intérieur de la zone euro, la concurrence déloyale entre les Etats de l'eurozone et les multiples modèles sociaux qui sont bien moins favorables que notre modèle social français. ]

 

 


En réponse à ‎" 18 milliards d'euros. C'est le déficit cumulé de l'assurance chômage, selon un rapport de la Cour des comptes. Mais la France est-elle vraiment trop généreuse avec ses chômeurs?"
[...]

Evolution du déficit de l'assurance chômage :
2008 : - 5 Milliards d'€
2012 : - 13,7 Milliards d'€
Fin 2013, le déficit est estimé à - 18,5 Milliards d'€


Pour Didier Migaud, le président de la Cour des comptes, "Une telle tendance est insoutenable "

 

 

 

Pour ceux qui n'auront pas le temps de lire le rapport Gallois, en voici les grandes lignes :


Pourquoi devrions-nous faire encore confiance à des politiques qui ont conduit la France et les Français dans cette impasse budgétaire ?.


(Lundi 5.11.2012) Pour faire simple, l’euro fort renforce les forts et affaiblit les faibles.
[...]
Le niveau élevé de l’euro, par rapport aux autres monnaies mondiales entre 2005 et 2012 (audessus de 1,3 dollar pour 1 euro) a joué un rôle – très souvent sous-estimé
[...]
«...Le redressement de la compétitivité dans les pays les plus exposés à la concurrence par les prix, et donc en France, est ainsi, pour partie, lié à un niveau plus acceptable de l’euro par rapport aux principales monnaies mondiales. Les économistes fixent ce niveau entre 1,15 et 1,2 dollars pour un euro (parité du pouvoir d’achat). Il importe que l’Eurogroupe, qui en a la responsabilité, appuyé par la BCE qui en a les clés, s’exprime clairement (il ne l’a pratiquement jamais fait dans ce sens). Les marchés fixent la valeur des monnaies mais, l’expérience montre qu’ils écoutent ce que disent les responsables politiques et ils mesurent ce que font les Banques Centrales. Nous ne sous-estimons évidemment pas la difficulté de dégager un consensus sur ce point au sein de l’Eurogroupe ! »[...]





Lundi 19 mai 2008
Quelques maximes durables des méthodes de Napoléon

Un projet qui dépend de budgets succesifs ne doit jamais être entrepris tout d'une fois, mais par parties indépendantes et complètes. Tant que l'exécution n'a pas commencé, il faut préparer des projets en surnombre. Dès qu'un chiffre change, il faut refaire tout le tableau. On risque toujours d'oublier la balance financière ; il faut sans cesse l'avoir sous la main...".
Ce matin, dans la matinale sur Canal+, l'économiste Marc TOUATI a plus que relativisé l'optimisme de l'annonce du +0,6% (prévision +0,5%) de la croissance au 1er trimestre 2008 faite par Madame la ministre, Christine Lagarde. Il a, par contre, évoqué un problème très grave pour les finances de la France : sur un an, la dépense publique du pays a progressé de + 12 Milliards d'Euros ?.



Sources Libération et Rue 89
Parmi les nombreux arguments avancés par M. A. COHENDET, professeur de droit constitutionnel, j'ai relevé :
"Le président cherche à augmenter ses pouvoirs en restant incontrôlable".
"les risques d'abus de pouvoir et de crise institutionnelle sont considérablement accrus par le projet de révision constitutionnelle...un homme peut décider seul, de faire pratiquement n'importe quoi, pendant cinq ans, dans des domaines cruciaux pour le service de la Nation, sans que personne ne puisse s'y opposer...".
Je ne saurais vous conseiller d'aller lire l'intégralité du texte sur rue 89 et Libération. Il y a de quoi avoir de grosses inquiétudes sur l'avenir de la démocratie dans notre Pays.
Actuellement, force est de constater que tout se décide à l'Elysée et les parlementaires subissent les multiples annonces cacophoniques sans pouvoir en débattre.



Georges Elgozy était un économiste français du siècle dernier. Bien qu'il exerça pendant longtemps la fonction d'inspecteur général de l'économie nationale, il ne portait pas dans son coeur la caste des élites de l'ENA. On lui doit quelques citations puisées dans l'Esprit des mots :

" Egalitarisme : rêve du pauvre, cauchemar du riche "

" Conscience collective : somme des inconsciences individuelles."

" Les gouvernants gouvernent l'Etat ; les technocrates, les gouvernants ; et la vanité les gouverne tous."


Les entreprises françaises qui délocalisent privilégient l'UE
"... Le fait que 55% des entreprises qui délocalisent le font vers l'Union européenne "est en décalage avec le discours des politiques et des médias et la perception de l'homme de la rue"....

http://www.boursorama.com/actualites/les-entreprises-francaises-qui-delocalisent-privilegient-l-ue-eae992b841344bf035e727f234917567


Photo archives un conseil municipal sous la coupe de Jean-Claude Antonini (avant fin janvier 2012) 
On pourrait en dire des choses sur les délégations de service public qui coûtent «la peau des fesses» aux contribuables sans pour cela en diminuer le coût ni le nombre d'agents et d'élus des collectivités locales !.
Nos collectivités locales et ses bailleurs sociaux ont emboîté le pas à la politique de modernisation de l'Etat en cessions immobilières !. Qui avait dit au printemps 2007 : « Je propose que ceux qui ont des rémunérations modestes puissent garantir leur emprunt par la valeur de leur logement » ?. C'était Nicolas Sarkozy et d'ajouter : « Une économie qui ne s'endette pas suffisamment, c'est une économie qui ne croit pas en l'avenir » !.

Marine Le Pen sort des sentiers « battus » : "Je demande solennellement au président de la République d'organiser en janvier 2014, un référendum sur la sortie de la France de l'Union européenne" [...]. Et d'ajouter : « Si le gouvernement refuse, nous ferons des élections européennes un grand référendum pour ou contre la sortie de l'UE »


Septembre 2010 Les retraités du privé sont esclaves du public : En 1993, Balladur avait fait régresser le montant des retraites de -10 %, Fillon en 2003 avait continué le travail en rognant les retraites du secteur privé ( le calcul du montant des retraites du privé est passé des 10 meilleures années au 25 meilleures années sans que l'on touche au secteur public qui voit sa retraite calculée sur les 6 derniers mois !)

En 2014, l'occasion vous sera donnée de voter pour une FRANCE libérée du carcan Bruxellois et Berlinois. Le courage est au parti Bleumarine. La soumission est à la bipolarisation UMP-PS 

Novembre 2010 La sonnette d'alarme s'était transformée en sirène de pompiers chez les bailleurs sociaux et les municipalités :

http://zen49.blogspot.com/
Courriel privé : fevrieralain.hotmail censuré par Microsoft depuis mars 2013

Aucun commentaire: