dimanche 16 mars 2014

A force d'ignorer leur peuple, les populistes, président, ministres et parlementaires, ils en payeront le prix...



L'ingérence de Bruxelles contamine l'Europe.
Serait-elle malade de son expansionnisme ?.
Exemple de l'Ukraine, les peuples qui écopent
D'une crise politique, retour au bolchévisme?.
Amérique et Europe n'autorisent plus les peuples
A disposer d'eux-mêmes.et choisir leur destin.
Pour cette troïka, vous n'êtes que des meubles
Soumis à leur diktat, français, eurozoniens.

Au sommet de l'Etat, c'est la cacophonie.
La France des droits de l'homme, pays de l'infamie,
Ils ont franchi les bornes dans ce gouvernement.
Cette gauche suspicieuse, une droite calomnieuse
Qui se moquent de leur peuple, abîment la République.
C'est une humiliation pour nos Institutions.
Sentiment général, désarroi, écoeurement,
Pour ces tables d'écoute et les affaires mafieuses
Qui suscitent la méfiance du monde politique.
Ministres, parlementaires, qu'elles sont vos ambitions ?.
Zen-fiatlux.blogspot, le 16 mars 2014


Message personnel à toutes les candidates et à tous les candidats aux prochaines échéances électorales, veuillez vous souvenir de l'éditorial du PDG de Ouest-France, François Régis Hutin paru à la UNE du samedi 15 mars 2014 :

« Désarroi, écoeurement »

« Ces lamentables rafales d'affaires en tout genre font qu'aujourd'hui, plus personne ne croit personne. Dans le monde politique, tout le monde soupçonne tout le monde.
Pour le grand public, les politiques qui s'affrontent les uns les autres s'équivalent tous dans la médiocrité. Aucun n'aide vraiment les citoyens à voir clair dans ces imbroglios incompréhensibles pour le commun des mortels, pour ceux qui n'ont pas les clés qui permettraient de comprendre les évolutions, les possibles aboutissements des problèmes brûlants successivement posés en matière judiciare.
C'est un grand désarroi autant qu'un écoeurement que crée la situation politique actuelle. [...]

Comment en vient-on à ces acharnements réciproques alors que l'enjeu est le Bien commun et non le bien personnel ou le bien d'un parti ?. Alors que la commission de Bruxelles, inquiète des retards pris par notre pays, place la France « sous surveillance renforcée » ?. [...]

« Assainir notre démocratie »
Ce sont ces tristes comportements qui ruinent la confiance dans les personnels politiques et dans le système démocratique qui est le nôtre. En est-il ainsi dans d'autres grandes démocraties ?. Il ne le semble pas, pas à ce point en tout cas. [...]

La démocratie est un bien trop précieux pour qu'on la néglige ou qu'on risque son existence. [...]

La responsabilité de nos élus, du président de la République au plus humble des maires, en passant par les députés, les sénateurs, les conseillers généraux, est considérable. Mais les simples citoyens sont aussi impliqués. Alors, à quand le grand sursaut de tous pour le Bien commun et pour l'assainissement de notre démocratie ?. Il est grand temps d'élever notre regard au-dessus et d'orienter nos actions au-delà de la boue dans laquelle notre république est en train de patauger.

 

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