mercredi 30 décembre 2015

Veuillez accepter tous mes meilleurs voeux de bonne et heureuse année 2016


Mes meilleurs voeux pour 2016.

Une coutume ancestrale, la formule consacrée
Ces vœux sont présentés dès le premier janvier ;
Joie, bonheur et santé, travail, prospérité !.
Bien que la perspective d'un avenir compromis,
On peut toujours rêver d'un nouveau paradis.
Ce choix est cornélien, savoir qu'ils ont menti.

Je me plie aux usages, vous présente les miens.
À tous les amoureux de la France, des Français,
Je souhaite un bon accueil dans ce pays chrétien.
Immigrés, clandestins, vous êtes insatisfaits,
L'eldorado français, c'est un rêve, une chimère,
Propagande d'utopistes, d'eurocrates nantis,
Ces menteurs éhontés les mènent dans la galère.
La Fondation Schuman recueille tout mon mépris.

Franc Fort contre Franc Mark, mort des industriels,
L'Allemagne bénéficiaire explose nos industries.
Le comité Delors souhaite la monnaie unique.
L'œuvre de l'euro-deutsche a créé cette panique.
Politique du veau d'or, un nouveau dieu est né,
Commission corrompue, zone euro accablée
Bruxelles les soutient ces lobbys sont puissants
Qui provoquent le chaos, le trafic des migrants.

Pour l'année 2016, si le bon Dieu m'entends
Viens à notre secours, avant l'Apocalypse.
Le cynisme politique dans tous les Parlements
Ce n'est plus supportable, j'implore votre éclipse.

Alain Février, mercredi 30 décembre 2015

Désœuvrés, «surbookés», quotidien de chacun
Faire semblant d'être bien devant tous ces voisins,
Dans cette société, pas de temps pour penser,
Le paraître, être chic, signes de modernité,
Miroir aux alouettes devant des glaces sans teint,
Les académiciens préfèrent Pline l'Ancien.

Depuis quelques années, les jeunes ont bien changé.
La faute aux gouvernants, à tous ces bien-pensants,
Ils sont tous responsables devant l'humanité,
D'avoir «customisé» l'enseignement des enfants.
Avant que tout s'effondre, privés d'identité,
Dénonçons ces folies, tous ces bouleversements,
Nous devons s'opposer à ces insanités.

Chroniqueurs, journalistes, médias ou magazines,
Sont-ils indispensables ou trop envahissants ?.
Course à la surenchère, à la chaîne, à l'usine,
La concurrence est rude, contamment dans l'urgent,
Il arrive, trop souvent, d'en négliger l'éthique
Pour conforter sa place auprès des politiques.

Chers amis, attention, ne perdez pas le fil,
Vos écrits, vos propos, ils sont analysés.
Par le biais d'internet, vous êtes sur le grill.
Et au moindre faux pas, vous êtes très critiqués.
Perdez pas votre temps à dénoncer ces gens,
Internautes désœuvrés ou trop bien informés,
Réveillez la conscience de tous les inconscients.


Le bon sens des énarques aurait-il disparu ?.
Chahut dans l'Hémicycle, un climat délétère
Envahit les travées, les scènes sont grotesques.
Réactions de colère entre parlementaires,
Le mythe de Babel plane sur tous les élus.
Peuple ne supporte plus ce spectacle burlesque.

L'infantilisation de la population
Démission des familles devant leurs rejetons,
L'école incriminée pour l'absence d'instruction,
La faute est collective dans notre société.
Le respect, la morale, la vie en société,
Parents et enseignants doivent être sollicités,

Toutes ces dernières années, le peuple est ignoré.
Leur vie entre les mains d'eurocrates incertains
Qui ont mené la France vers cette austérité.
Leur unique refrain, ça ira mieux demain !.

Il faut déboulonner, ces partis installés,
Ils nous qu'une seule idée, c'est la continuité.
La France en a soupé d'avoir été pillée
Par la cupidité de nombreux étrangers.

Cancer d'une société, l'absence d'autorité,
En ce début d'année, c'est la morosité.
Peuple désabusé qu'on ne cesse d'imposer.
Notre belle société est toute déboussolée.

Œuvre d'un étudiant des Beaux-Arts, Angers, Bar-Resto Le Laboureur

L'art de plaire, d'émouvoir, peu importe l'histoire
Le paraître, l'émotion, c'est l'unique condition,
Si l'on veut de l'audience, conserver le pouvoir.
Journalistes, politiques, se mettent au diapason.

Des journalistes s'offusquent d'interdire tel expo ;
Critiquent à l'unisson des livres qu'ils n'ont pas lus.
Des politiques s'en mêlent, brandissent leur véto.
Leur esprit dogmatique déforme leur point de vue.

L'art du n'importe quoi provoque un haut-le-cœur
Quand on voit des bourgeois, de riches parvenus
Nous jouer la comédie devant toutes ces horreurs.
Picasso, l'imposteur, raille ces ingénus.

Mauvais dessinateur, peintre de gribouillis,
La règle, c'est l'imposture pour en booster le prix.
Un génie se fabrique, n'est-ce pas monsieur Dali ?.
Cet art contemporain conduit aux graffitis.

Qui se sent attiré devant ces lignes brisées ?.
Des marchands d'illusions, lobbys organisés,
Le commerce de l'art, véritable marché
Pour des spéculateurs sans aucun préjugés.

Encensés par une presse aux ordres de mécènes,
Ces spécialistes des arts, ils jettent l'anathème
Sur le peuple des incultes qui préfère Diogène.
Les Arts exonérés, dénonçons le système.
Zen-fiatlux.blogspot, le 21 octobre 2014

http://zen49.blogspot.fr/2014/10/inauguration-du-musee-restaure-de.html

Désormais qui peut croire au système politique,
Après cet étalage de propos sarcastiques,

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