Image d'archive de #ONPC,
première mouture Zemmour, Naulleau
Insultes et perfidies sur les télés
publiques,
Journalistes, imposteurs, quelle mouche
les a piqués ?
Sont-ils tous au service de nos
pouvoirs publics ?.
Citoyennes, citoyens, vous n'êtes plus
respectés !.
De nombreuses questions sont restées
sans réponse.
France 2 et France Inter jouent sur les
deux tableaux.
Socialisme, masochisme, ces médias qui
s'enfoncent
Dans les insanités, se gaussent des
nationaux.
"100 connards sur twitter emmerdent" Laurent Ruquier.
Son adjudant Yann Moix atteint son
paroxysme
Avec son dépotoir, dans « On est pas
couché »
«Twitter pue l'extrême-droite»..,
adepte du spinozisme.
Cette espèce de bouffon alimente les
haines.
Ces messieurs «Je sais tout» manquent
de modestie.
Ces propos, chers Messieurs manifestent
une gêne.
Les bornes sont dépassées, faites
donc une amnistie.
Alain Février, vendredi 9 septembre
2016
Avec la décision des
Britanniques de se délier de l’Union européenne, l’été avait
commencé sous les meilleurs auspices pour les patriotes.
Comme en France, la
politique britannique s’organise désormais autour de deux camps :
d’un côté les défenseurs de la
souveraineté nationale, de l’autre les partisans de la soumission
à l’Union Européenne, avec son cortège de conséquences :
pauvreté, chômage, immigration massive, terrorisme,...
Les européistes, déconnectés des préoccupations du peuple des dires mêmes d’un journaliste français, sont prêts à tous les mensonges pour décrédibiliser les patriotes. C’est ainsi que, des mois durant, la stratégie utilisée par les partisans du Remain a été celle de la peur : en cas de victoire du Brexit, le Royaume-Uni se retrouverait coupé du monde, replié sur lui-même, les étudiants et les touristes auraient d’insurmontables difficultés à s’y rendre, l’économie britannique s’effondrerait et la City délocaliserait ses activités.
Les mensonges n’ont pas pris et les Britanniques ont fait le choix, avec une majorité confortable, de s’évader de la prison européenne et de retrouver leur liberté. Pas d’apocalypse en vue, l’économie britannique ne s’était d’ailleurs pas si bien portée depuis longtemps.
La dévaluation modérée de la livre sterling a donné un coup de pouce aux exportations et au tourisme, la City reste à Londres, la consommation est en hausse, la confiance ne s’est pas érodée, le chômage baisse, le Royaume-Uni négocie de nombreux accords commerciaux extra-européens, les subventions européennes seront intégralement remplacées par des subventions nationales, le pays économisera même 7 milliards d'euros par an…
Les européistes, déconnectés des préoccupations du peuple des dires mêmes d’un journaliste français, sont prêts à tous les mensonges pour décrédibiliser les patriotes. C’est ainsi que, des mois durant, la stratégie utilisée par les partisans du Remain a été celle de la peur : en cas de victoire du Brexit, le Royaume-Uni se retrouverait coupé du monde, replié sur lui-même, les étudiants et les touristes auraient d’insurmontables difficultés à s’y rendre, l’économie britannique s’effondrerait et la City délocaliserait ses activités.
Les mensonges n’ont pas pris et les Britanniques ont fait le choix, avec une majorité confortable, de s’évader de la prison européenne et de retrouver leur liberté. Pas d’apocalypse en vue, l’économie britannique ne s’était d’ailleurs pas si bien portée depuis longtemps.
La dévaluation modérée de la livre sterling a donné un coup de pouce aux exportations et au tourisme, la City reste à Londres, la consommation est en hausse, la confiance ne s’est pas érodée, le chômage baisse, le Royaume-Uni négocie de nombreux accords commerciaux extra-européens, les subventions européennes seront intégralement remplacées par des subventions nationales, le pays économisera même 7 milliards d'euros par an…
Une
fois de plus, les européistes avaient tout faux !
Mensonge ou mauvaise foi, qu’importe. Les mêmes arguments seront
utilisés à l’encontre des patriotes français durant la campagne
présidentielle, et l’exemple britannique nous permet de faire la
démonstration du caractère fallacieux de leurs raisonnements.
En 2017, les Français seront appelés à faire un choix crucial : élire un représentant de la province européenne France ou voter pour le camp des patriotes, celui de la France libre, le camp de ceux qui souhaitent que nous nous extirpions du carcan européen pour reprendre notre destin en mains, pour gagner notre indépendance et agir dans le sens de l'intérêt national en coopération avec les pays d'Europe et du monde.
Je
vous donne rendez-vous en mai et juin prochains et compte sur vous !
Patriotiquement,
Florian PHILIPPOT
Vice-président du Front National
Vice-président du Front National
«
La politique : fais-en, si tu
trouves que les journaux en dégoûtent... Comme on serait
meilleur sans la crainte d'être dupe » Jules Renard
Bon sens ne peut mentir
jusqu'au dernier soupir.
Journalisme fait souffrir,
loyalement sans mentir.
Qui ne dit mot consent
cette politique du pire.
Médias et politique, ils
jouent la même satire.
[...]
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